En gestion des immobilisations, le code à barres joue un rôle essentiel au cours de l’inventaire. Il fête aujourd’hui ses 50 ans.

20 ans de développements pour un standard

Le 3 Avril 1973, le code à barres est choisi aux Etats-Unis comme standard pour identifier les biens de grande consommation. Un an plus tard, le premier produit sera scanné via son code à barres. Il s’agit d’un paquet de chewing-gum. Il aura fallu 20 ans pour que cette technologie se développe. Le brevet a été déposé en 1952. Mais, c’est à la fin des années 1960 avec le développement de l’informatique que cette technologie prendra son essor.

Gestion des immobilisations et code à barres

En gestion des immobilisations, le code à barres est essentiel. En effet, il permet l’identification physique des biens. Au début des années 1990, les premiers logiciels d’inventaire des immobilisations font leurs apparitions. Le code à barres est alors utilisé avec des lecteurs optiques spécifiques. Le code à barres a l’avantage de s’imprimer sur de multiples supports (polyester, acrylate, inox). Toutefois, afin d’être utilisé en gestion des immobilisations, le support doit préférentiellement être autocollant.

Peu coûteux, discret et facile d’utilisation pour les inventaires des immobilisations

En gestion des immobilisation, le code à barres est en concurrence avec 2 autres technologies plus récentes : le QR Code et le RFID. Toutefois, le codes à barres présente l’avantage d’être simple d’utilisation, peu coûteux et discret. Il ne mesure que quelques centimètres, se colle sur les supports plats et peut donc être facilement caché. Réaliser un inventaire des immobilisations par lecture optique de codes à barres est également très rapide et fiable.

Article de presse sur les 50 ans du code à barres

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